Langueurs et longueurs

Les langueurs bucoliques d'un été atone
Les longueurs monotones du tardif automne
Et je sors chaque soir avec ma solitude
Quelle drôle habitude, étrange attitude

Je parcours champs labourés et vertes prairies
J'ai l'esprit campagnard et devant la mairie
Je vois passer le maquignon et ses chevaux
Puis dans les prés broutent les vaches et leurs veaux

J'ai trouvé une profonde sérénité
En ce lieu reposant, plus de nocuité
Des villes, je retrouve de simples plaisirs
Naturels et cela remplit tous mes désirs !

Bonjour Olivier,

La nature est un véritable enchantement, et elle offre tant de sérénité qui est plus difficile à obtenir dans les grandes villes !

Superbe poésie en son hommage !



Belle soirée cher ami poète!
Toutes mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Bonsoir Elteor

Très touchant. Je suis complétement de cette avis. La nature recèle de trésors inestimables et il faut la respecter. Car ne fait pas aux autres ce que tu n'aimerait pas qu'on te fasse.
J'ai appris un mot, nocuité, je connaissais vacuité. Bien à toi