* A Cils Lyre D'éveillement.
https://youtu.be/mzoNqdNwUQA( Musique : Tony Anderson. Ember.)
* Ambiance d'un matin six heures, ambiance plumes d'oreillers,
ambiance d'un soleil dormeur dans des froideurs de ciel
gelé...
* Ambiance de pieds sur le sol d'un corps assis d'obscurité,
le silence baillant des paroles à gorge de flocons tombés...
Ambiance d'un mouvement atmosphère, lueurs d'hiver d'une
chambrée, que seule la nuit encore éclaire, d'une sphère lune
pour chevet...
Ambiance d'une main sur poignet, tournée d'un geste porte ouverte,
d'où l'on voit de deux pieds marchés, le feutré d'âme d'une silhouette...
Ambiance d'un parquet boisé, trois flammes de bougies s'allument,
quand d'un courant d'air d'entrée, seul la floutait un clair de lune...
Ambiance sept d'horloge sonnée ; L'âtre qui s'était allumé lorsqu'elle
passa devant ses pierres, et qui d'une main qu'elle soulevait, se ranimait feu
de lumière...
Ambiance du blanc de sa chemise, caressant le bois du parquet,
dans laquelle ne flottaient d'emprise, que ses nus de frissons astrés...
Ambiance douceur d'une main posée sur des fins de rideaux velours,
le serein à doigts du matin, d'un jour magicien de l'Amour...
Ambiance de son corps de neige, elle ouvre sa fenêtre au vent,
épris de tout ce qui s'allège de l'aérien d'un souffle amant...
Ambiance cheminant l'à pied lent, poésie du tout doucement dont elle fait tours de manège,
qu'elle tournoie bois d'un cheval blanc, d'un rêve au ralenti d'élan, dont elle s'éprend
du mouvement des tourbillons de flocons blancs de sens effleurant ses lèvres...
Ambiance tout d'elle de forêt s'imprègne, flocons poèmes du tressaillant,
dont elle s'enroule châle de laine, d'un contre à peau du frémissant du voile
l'en effleurant d'Ã peine...
Disparue d'un soudainement ; on ne sait quel sentier elle prit,
fantôme du probablement, en son château d'âme sans bruit ?
Ambiance je suis ; ambiance je te regarde ; ambiance tu es mon infini,
que d'yeux tu protèges et tu gardes, quand de tes ailes d'oiseau blotti,
tes nuits sont poésies d'abris, d'un nid dont je racine l'arbre.
* Aïna.
D'un mois Janvier, de 2022.
Merci par avance à ceux et celles qui passeront par ici pour me lire.
Passez une douce journée.
Ici, je suis, j'ai été et je ne serais plus qu'un vent qui passe de quelques murmures en mots soufflés.
Portez vous bien en tous soins qu'il vous sera possible de vous accorder.
* Aïna.