Lorsque je te regarde,
Plus rien n’a d’importance,
Comme si nous étions tous deux
Seuls dans un espace magique.
Tu es là devant moi,
Et j’aimerai t’enlever pour une danse,
Un slow langoureux pour des amoureux,
Dans ta robe blanche, tu es si magnifique.
Lorsque je t’aperçois,
J’ai envie que tu croises mon regard,
Et que tu répondes avec un charmant sourire
Qui me réchaufferait le cœur.
Debout non loin, près de moi,
Je voudrais tant te serrer contre moi,
Et pouvoir te dire au creux de l’oreille,
Comme tu me plais et que tu es belle.
Je passe devant toi en frôlant ton corps,
J’ouvre la conversation en te disant,
Que j’aimerais tant te prendre dans mes bras,
Que je t’aime et voudrais juste vivre avec toi.
(Autre poème extrait de mon premier recueil intitulé Tant d'amour qu'emporte le vent)
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Carpe diem
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