S ous la canicule, via ce soleil en transe E n ce mois d'aout, fin de nos belles vacances A vec son père, près du lit de la rivière N os deux compères, se précipitent bien fiers C' est le moment qu'ils ont choisi, instants très hard E n s'équipant et en chaussant leurs longues cuissardes
D ans l'eau presque tiédie par cet astre radieux E nsembles, hameçons sortis, lunettes aux yeux
P our ma part, moqueur, je ris sous cape, soucieux E n regardant les deux pêcheurs, énergumènes C hacun sait que midi, c'est trop tard, heure vaine H eure du repas, c'est tout vu, nous aurons, divines, E ncore droit aux p'tites boites de sardines !
**poètamateur copyright n 00052404
---------------- La poésie réchauffe les cœurs et calme les esprits. Poetamateur
Un bel acrostiche sur un thème que j'aime La pêche en mer non pas en rivière mais l'une comme l'autre demande de la patience Merci du partage bonne soirée amitiés
tous les pecheurs ne sont pas aussi futés que les gardons ou les truites, mais au milieu coule toujours une rivière, merci du subtil poème, plein de reflets sur l'eau et dans la tête, bravo