Le ridicule rugit déguisé,
La chance joue aux dés sur la statue,
Le temps me fait une pause,
La raison fouille désespérément.
Rester!
Les chiens errants aboient,
Ou peut-être qu'il la jure
Qu'il brise la paix dans laquelle
Les poètes se dissolvent
dans la perception de l'état de peur impondérable
L'ineffable se produit,
Le poème éthéré
je l'entends
Est né,
Faim,
La faim crie,
Les ordures chantent malade,
Un moineau veut me vendre
Sonnet jaune,
Je réponds dans le dernier formulaire
Comme un passant traversant la rue de l'ombre
Si tu veux,
Je te laisse
Que reste-t-il de moi,
Ces traces
Boiteux,
Ou alors
RAISONNEMENT
Comme un drapeau qui
Il le porte dans le noir
Chacals voyant la lune
Allongé comme les ailes avec quelle chance
Il s'élève au-delà de l'absurde.

----------------

J'ai beaucoup aimé te lire !
Les images très originales créent un monde hors du commun !

Bonjour,

Une lecture qui sort de l'ordinaire avec une trace de tristesse .

Bonsoir Lemichou,

Un poème triste touchant merci du partage
Belle soirée amitiés bon dimanche

----------------

Bonsoir LeMichou,

Un raisonnement au fil de ta plume en partage que j'ai aimé lire !



Belle soirée!
Toutes mes amitiés
Sybilla

----------------
Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)