On s'était dit à 14 h 30
A qui ai je l'honneur ?
Une autre personne dans un non lieu
Elle voulait regarder pile en face
Ne pas jouer à pile ou face
Viendra viendra pas
Elle se retrouvait bancale
Qu'elle était venue pour rien
Qu'elle allait repartir vide
Elle n'était pas du genre à s'allumer au premier venant
Il lui fallait la connaissance ,savoir
Voir cet homme en retard
C'était comme si elle était sans connaissance
Pour s'accorder il lui fallait être au diapason
Cela ne rimait à rien , ce type
Il avait beau expliquer
Rien n'y faisait
Aucune excuse n'était possible
Ce jour là elle avait perdu son petit ami

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domi.gondrand@laposte.net

Bonjour Poetal,

Une perte bien nostalgique concernant la personne dont tu parles en ta belle poésie émouvante !



Belle soirée cher ami poète!
Toutes mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Bonjour Poétal,

Un poème qui nous mène à la confusion de l'instant
merci du partage bonne soirée amitiés

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L'heure c'est l'heure...je suis comme elle, après l'heure c'est plus l'heure.

Parfois un destin ça tient à presque rien..

" Pour s'accorder il lui fallait être au diapason".

Bonjour ami de poésie.

Je dirai que, être déjà en retard d'un premier rendez-vous, ça n'assume pas vraiment d'une vraie relation,
et ça demande de remettre les pendues à l'heure.

Merci pour cette lecture toute en point d'interrogation.

Belle journée à vous.

* Aïna.