Et puis alors, oui vous connaissez son histoire
L'histoire de son doux soleil, de ses rayons dardant
Qui venaient nous réchauffer
De tous ses jolis photons d’énergie pure envoyés
Par ses dieux sur nos chemins ...
Par ses déesses accrochées à la couronne du cosmos
Ses rejetons brûlants faisant fondre nos cachets de cire
Et cette colombe qui dit : j’ai eu confiance dans le souffle du vent !
Oui alors, vous nous contez des choses si peu naturelles
Si non essentielles aux essences du ciel :
Aux Newtons qui en font des tonnes
Remplis d’odeurs de pomme frelatées et d’ailes prétentieuses
En tatouages d’ors et d’argents fumants posés en gravité
Tombés bas si bien, bien si bas sous les grandes feuilles palmées
Et puis à la foule en transe s'écriant, s’écrasant sous la plume d’airain
...
Cavalliero