Au livre lu que j’ai fermé
Du conte laid de mon aimée,
Les plus lugubres des paysages
Badigeonnés sur les visages…

A la plume saine qui aime roder
Entre les syllabes qu’elle sait broder,
Elle sauve mon cœur de l’hameçon
Et nage vers l’île tel un poisson…

A l’évasion d’un fugitif,
Avec ses pas brefs et hâtifs,
Aux traces senties derrière son dos
Besoin des soins d’un humble mot…

A la prison des grandes haines
Tenu là bas pour lourdes peines,
La foi trahi, l’âme torturée,
L’adieu, un choix sans un regret…

Au triste deuil de l’échiquier
Quand le roi meurt sans cavaliers,
Le beau royaume part en fumée
Au livre lu que j’ai fermé…

Kader…

Fin qui secoue la plus profonde des âmes
Tous les mots qui me viennent à l’esprit sont dérisoires devant ce bel écrit
Merci mon ami et bravo , au plaisir de te relire

Kader mon ami,
Kader mon ami,Kader mon ami.....

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Et ce livre fermé je ne cesserai de le rouvrir pour continuer à te lire jess

ahlami, sophie, jess, merci de tout mon coeur, je suis heureux que mes ecrits mettent ud bien etre chez vous, au moins pour l'instant de lire, c'est fabuleux la poèsie...
kader

Une fin grandiose !
Tes poemes sont de toute beauté .
Mais .... pourquoi le titre Ruines ?

Sandrine

bonsoir sandrine, encore une fois mille merci pour lire et trouver beau mes poèmes... pour le titre, je pense qu'il veut tout dire, les souvenirs qui sont entrrés dans la memoire, qui ne servent pas à construire, sont une sorte de ruines storés dans la pensée, il faut en tirer le mieu quand meme, un poème par exemple...
kader

qu'est ce livre apothéotique ?
j'ai aimé cette douceur cousin
qu'encore cette plume que j'adore
Aussi un chef-d'oeuvre à la promenade celui-ci.

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Banni pour plagiat !

merci cousin , ton appreciation compte pour moi, elle me fait enormenent plaisir....
kader