j'arrive été dans ton hiver
Cet Yvert et Tellier des nombreuses lettres hivernales
Dans ma main cet hérisson , la coque d'un marron
Je nage en crawl et sabre les vagues
Je brasse l'écume des vagues comme la mousse dans une brasserie
Des souffles de vent comme des accents
Intonations d'un courant d'air
Dans le ciel phosphoRECENT ,sur terre les couleurs porcelaines
Gravir jusqu'au Peak
Graver d'un coup de pic pour piocher ce qui me manque
Je suis l'oiseleur à la coiffure d'un grand chef indien
Tu es mon émotion
Je me consacre à d'autres taches
Sur les cordes horizontales , chevalet de notes
Tu crois aimer un homme mais que poète
Toujours dans cet enfance
Quand elle est enfoncée c'est être adulte
Ou vieillesse
Qu'une reprise dans un ailleurs avec ses expériences
Visible à l'oeil nu mais un réservoir à poésies pour le cinéma des yeux lecteurs
si aucune main n'y est posée considérée alors comme absente de traces de vie
stimule l'imagination, mais aller voir quand même de plus près si c'est vrai
comme pour se sentir plus tranquille pas que dans l'imaginaire
Imagination sans limites ,faire toujours rêver au point d'être
toujours en apesanteur ,en module poétique
Pieds de poésie font un grand pas dans les humanités
Ton poète est dans la lune
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domi.gondrand@laposte.net