C'est toujours le meme reve que je fuis. Il y a une fille de dos sur la terrasse et mon regard se perds dans le desert de lune de son dos.
Bien sure je fuis l'écume de ma culpabilité. A la recherche d'un gout de vivre qui semble se situer hors de tout.
Il a un confort serein qui se dégage du moindre de ses gestes et j'ai presque honte de la trouvé belle dans les bras d'un songe qui ne me ressemble pas.
Mais tout n'est pas aussi simple que les images qui anniment le someil, et dans ma cavale psychologique
j'aimerais trouvé les rennes d'une liberté enlaquelle se monde ne croit plus.
Il y a une littérature du désire qui se consume sur le grain de sable de sa peau, et je n'ecrirais jamais plus que pour parler
de cette veine pourpre et oisive qui affublé de someil délivre les émotions que l'ont ne s'avouent pas, et déverouillent les cadenas chimique de la pensées.
Je ne dois pas être assez honete avec ma propre nature pour me guérire du réconfort des larmes. Mais c'est toujours ma soif de ne faire mal a quiconque
qui me laisse en paix avec ma conscience dans les recoins les plus obscures de la perte.
Je vais a la rencontre du temps qui géurit de tout et même de l'ennui. La route et son cortège d'image enboite le pas de cette confusion indicible
qui couve mon enfer émotif.
Malgré les spectres dont les paroles ardentes résonnent encore dans mes tripent, le calme s'instale doucement au file des kilometres qui me raproche
de ce qui est loin.

Un monologue tres bien écrit sur les mystérieuses promenades de
l inconscient .

Merci.

un poème bien écrit mais je trouve que tu es dur avec toi, et je pense qu'il ne faut ni fuir ces rêves ni la réalité amitiés jess