Nuits agitées, le ciel se déchire souvent,
De la continuité de nos luttes d'antan.
Et je pense bien qu'un jour, il se brisera
Car, de plus en plus fort deviendront nos combats


Nous sommes deux êtres mais nous ne faisons qu'un.
Et un seul de nous deux restera à la fin.
Pourtant si je ne suis plus, tu n'es pas non plus.
Cette dualité est pour l'instant perdue.


Tu es mon double, mon identique reflet
Et à nous deux, nous sommes le monde parfait.
Mon jumeau, mon Moi dans un miroir embué.
Nous essaierons toujours de nous entretuer.

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Le Loup hurle à la Lune : Joie, Force et Solitude.

Chere Clémence , ton poeme est tres bien écrit en ce qui concerne la dualité car elle existe a de nombreux niveaux , a commencer par sa
présence en dedans de nous -meme .
Trop souvent , comme le dit Victor Hugo dans A Villequier , nous ne voyons qu un seul coté des choses et c est justement l effort que l on a a faire de reconnaitre l existence des ombres tant que celle des rayons tout en luttant , bien sur , pour la victoire des rayons .

L'éternel combat avec l'autre qui est en même temps notre propre image!

Combat qui nous donne l'opportunité de regénérer notre capacité à aimer et à chérir l'autre et son image!

Combat à travers de figures du désir, des phrases de séduction, des mots d'amour intense, des gestes sous forme de caresses...

Ambiance martiale où les guerriers sont des amants qui vibrent à l'unisson!

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