Mon visage ridé
Par mes froncements de sourcils
Sidéré
Mes yeux s’ouvrent lentement au rythme de mes cils
Quel plaisir !
Les couleurs de la nature deviennent plus brillantes
Bat ses ailes mon désir
Stimulant mon envie de sourire à la vie vacillante
Sous un ciel foncé
J’admire sa silhouette et l’alternance de ses pas sûrs
Légèrement enfoncés
Ses beaux yeux noirs et ronds me rassurent
Aux lèvres émaciées
Se dessine sur la peau lisse de son visage
Un beau sourire apprécié
Propageant ainsi sa joie à travers un subtil langage
Dès lors languit une lumière
Une lueur d’espoir entre ses yeux doux et son nez fin
Mon tressautement des paupières
L’une après l’autre me signale un mystère dans ses mains
Un sourire en retour
Libère ses vertus qui coulent dans mes veines exsangues
Attise mon affection et amour
Mon destin évident met fin aux supplices de la cangue
Medfeyz
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« Quand tu auras désappris à espérer, je t’apprendrai à vouloir » Sénèque.
