l était une fois un homme bien portant
( Il avait à peine trente ans )
Qui, d'un coup, mourut dans son lit
Près de son épouse endormie,
Et son âme monta aux cieux
Afin d'être jugée par Dieu

Mais Dieu alors était absent
Car, une fois l'an, il descend,
Dans les ténèbres de l'enfer.
A Satan ne pouvant se fier
Il veut lui-même vérifier
La bonne marche des chaudières.

Satisfait (tout était normal)
Il revint à son tribunal
Saisit la listes des trépas
Et vis que n'y figurait pas
L'homme qui mourut dans son lit
Près de son épouse endormie,
Et Il jura : Nom de Moi-même !

Le saint qui faisait l'intérim
Vint s'excuser, tremblant et blême
Et dit : O Toi, Maitre sublime!
Nous devons être pardonnés
Car nous sommes très débordés.
Hier, c'étaient les tsunamis
Et aujourd'hui les pandémies !

Dieu alors à tous ordonna :
Rendez son âme
A ce quidam.

Au matin il se réveilla
Frais et dispos. Sa femme alors
Le prit dans ses bras et le serra très fort
Et lui dit : Oh chéri, Oh chéri, tu es là !
J'ai rêvé que tu étais mort !

plaisante lecture

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

Une belle histoire un plaisir à lire merci du partage amitiés bonne soirée

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Bonjour, fort beau partage poétique

Amicalement

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

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