Sous les quatre saisons, j’observe avec bonheur,
La griffe du vallon d’où je construis l’idée
Qu'un oiseau s’élançait du ciel, filant l’ondée,
Et l’outil, ce matin, se fourbit au veneur.

Quand de l’orage nait le grand aigle pêcheur,
Quand ma tasse de thé en reste bouche bée,
Mes jumelles, d’un coup, retraversent la baie,
Ourlant les flaques d’eau de reflets de fraîcheur.

Et je hurle ! à travers la lucarne solaire,
Un rêve à l’équilibre, un paysage heureux
Où s’emporte au lointain mon regard circulaire :

À l’aube des forêts, plane sur la clairière,
Dans les nuages blancs, la fièvre carnassière
D’un rapace chasseur qui s’imprime de bleus…

un observateur doit supporter tous les aléas

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https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

Merci pour cette belle image féerique j'ai aimé ma lecture amitiés bonne soirée

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une belle observation bien poétisé

la joie de pouvoir assister à ce spectacle

belle observation au naturel

Merci à vous pour vos commentaires...

Intéressant poème, très visuel, j'aime beaucoup ses images.

Bonsoir Cavalliero,

Magnifique contemplation de la nature en ta très belle poésie !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)