Jeu même à d'abstraits mouvements
Selon un flux de miroirs ruisselant
La lumière et le vent se lèvent en sang
Traversant la veine au pied transparent.
Des airs mutiques au sable s'élancent
D'une bouche bée qu'un soleil balance
Au gré des misères, des rares substances
Comme écume la nuit au frêle silence.
Que demeure la vie en deuil cérébral
Au cœur des tempes d'orées abyssales
D'ivresse kafkaïenne au devis fractal
Qui se peint d'amour aux lueurs linguales.
Mot dit que dénonce la mémoire figée
Dans l'O infini d'infernaux versets
De l'aurore à la vague d'astre incultivé
Où l'isochronisme rêve d'éternité...
Hubix.
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bonjour à toutes et tous, je viens découvrir ce nouveau site, pour moi, en espérant pouvoir partager la passion de la poésie avec chacun(e) d'entre vous... Merci d'avance...