Toi, tu fais le dos rond, alors je te promène De branches en branches, sans un geste de trop, laine Dans une main et la gaule dans l’autre… Allons Enfants de la Patrie ! Il faut que je te mène Par le bout du museau, et ce sans t’effrayer, Jusques en bas de l’arbre, et encore autre chose,
Tu auras un bisou sur ton joli nez rose, Mille et une caresses à l’aune du laurier…