Elle rendrait jolie ma poésie.
Elle, la belle au cœur infini,
parce qu’elle est tendre, douce aussi.
Et moi la bête au visage meurtri.

Elle changerait en soleil même la pluie.
Elle tombait de sommeil et cédait à l’ennui.
Elle peignait des merveilles, surtout la nuit.
Elle savait l’essentiel, le transmettait à sa fille.

Elle s’appelle Pascale, mais c’est à Kalou que j’écris.
Elle dansait dans les bals, et le cavalier ce soir je suis.
Elle aimait les belles morales qui rythmaient sa vie.
Elle n’avait pas de rival sauf ses aspirants par dépit.

Elle vivrait en Tunisie dans une île nommée Djerba,
pour une nouvelle vie où je ne serai pas.
Et si tu t’enfuis, ne nous laisse pas là.
Parce que notre amie, promets-nous que tu reviendras.

Elle partirait mais son cœur était avec nous.
Elle nous accueillerait et nous irions n’importe où.
Elle lâcherait les voiles juste après le mois d’août.
Elle se prénomme Pascale, mais on l’appelle Kalou.

Texte beau et touchant, je te souhaite la joie avec elle...
kader

tres beau et touchant , un poème qu elle aura plaisir à lire

Ton poeme me donne envie de connaitre la délicieuse Kalou. Remets toi en selle celà seul compte. COURAGE

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Il n y a que l'amour de vrai
Ne pas aimer c'est être mort