Par leurs chants d’amour nouveaux ils rentrent comme de grands sages Venus du bout des mondes et finissent leurs nocturnes palabres En chats redevenus apanages et soufflent et calment leurs rages. Dès potron-minet ils arrêtent leurs danses macabres.
                 Â
J’ai ouvert ma porte un soir et la bête s’y engouffrait ! Boule de poils, fugueuse, tu vas trop bien m’oublier ? Ô chat revient vite, tu apaises la nuit ô mes sombres frayeurs.