Tout s'envole sans bruit dans le vent du large.
Des navires jamais ne reviendront.
Ils sont loin maintenant, peu importe ton nom.
Quel plaisir, Quelle vie, Quelle mort, quelle rage ,

Crois-tu pouvoir dessiner mon âge ?
Ma main tremble sur le papier, les mots l’exaspèrent.
L'histoire s'est racontée, puis s'évadée dans l'orage.
Tout s'oublie, tout se perd.

La temps grondait,
Rien n'a pu l'apprivoiser.
Le vide s’amplifie, chaque maux la creuse,
Et la vague s'étale sur une gréve frileuse.

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mes recueils :
1
https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2a2594e4cf.html

https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2-2a25a45cff.html
2
edilivre /La rapsodie/

Bonjour jean yves,

Des mots qui expriment magnifiquement les maux !



Douce journée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

écrire sa solitude
sans aucune certitude
peut-elle s'affaiblir
sur ce monde de souvenirs

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Geneviève

Bonjour Jean Yves

Les mots parfois guérissent les maux, et c'est souvent dans une grande solitude que la plume les pose.

Amicalement Franie

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Bonsoir, la plume joue de belle façon avec eux

Amicalement

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

00063312-1

très beau ressenti poétique, cela parle




yann