triste errance pour le gamin
une plume qui a su émouvoir le lecteur
la poésie est belle
Une minute passe, puis une à une elles s’enchainent,
Je me parle à moi-même, j’évite ce qui me peine.
Parfois je me pose ici, sur le vieux banc du jardin,
Ou là , c’est bien aussi, entre ces deux énormes sapins.
Le soleil me réchauffe, il ne faut pas que je gèle.
Je suis le petit mec, le gamin des ruelles.
----------------