Bonjour ISABELLE,
Pleines de sagesse et de philosophie ces considération poétiques dans lesquelles tu extériorises tes pensées de tendresse et de bonheur. Dans ce monde qui ne tourne plus rond, en pleine crise, nous attendons que la béatitude nous tombe sur la tête. Mais le bonheur, c’est tout de suite, c’est fugitif et ça s’attrape au vol.
Comme tu le suggères, il faut "promener son bonheur" et "sentir battre son cœur qui se fait créateur d'un monde de douceur". Oui, je pense que c'est une question de regard, de disponibilité, d’attention. Nous pouvons tous saisir et savourer l’instant où rien ne pèse, la petite lueur qui fait sourire, le geste qui met du baume au cœur. Vivre le "carpe diem". Le bonheur n’est pas un état permanent et nous devons savoir le trouver dans les petits riens du quotidien, ça se cultive.
Ton dernier quatrain en révèle les arcanes :
- "en devenant rêveur
il est devenu leader
d’une vie meilleure
qui connaît le bonheur".
MERCI pour cette profonde introspection.
ANDRÉ
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Citation :
La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André LAUGIER)