Quand la jalousie tu nous tiens, tu es abjecte,
Tu es un sentiment qui vient de notre noirceur,
Tu laisses aucun vainqueur, avec tes airs moqueurs
Sur les richesses des autres, tu projetes .
Tu es physique, matériel, flouze, inepte la fille du diable,
Ton étalonnage se fait sur des semblables,
Gacheuse d'existences, tu baves d'envie devant ton ombre,
Inconsciemment, tu rends tes victimes sombres.
Tu peux désarmer les plus fiers amis,
Quand on te croise, on préfère la fuite,
Tu es dans nos cervelles et ton carnage peut-être désinvolte,
Tu laisses en celui qui te suit aucune accalmie.
À force de croiser ton grand manège on n'est plus dupe,
Alors on se réveille et on te renie,
Et on subi celle des autres, qu'elle ironie !
Pour récupérer de ton venin, escalade donc ! une dérupe !
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mes recueils :
1
https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2a2594e4cf.html
https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2-2a25a45cff.html
2
edilivre /La rapsodie/