Prise d'otage

Je vois l'oasis comme ce jardin
Des délices et des fleurs aussi
Belles pour lire dans la main
Qui dépose tous nos écrits ici

Si je suis le loup dans la fable
Qui ne raconte pas de salades
Sans m'enfoncer dans le sable
Le mensonge me rend malade

L'amour n'a plus le même goût
Le soir en se réveillant le matin
Sur le jeu d'échec je suis le fou
En attendant la Saint-Valentin

Mais comme la nuit me séduit
Je me regarde dans son miroir
Un reflet de l'âme qui s'enfuit
Oh fantôme je finis par croire

Quand je me suis trop décalé
Pour rentrer dans le système
Comme si je n'avais pas la clé
Du bonheur j'ai crié je t'aime

Comme je suis trop Différent
Mon cœur j'ai réussi à fermer
La porte du prince charmant
Qui rêve encore de t'enfermer

Vive la Liberté

Bonsoir Différent,

Comme elle est belle ta poésie et si émouvante !
Des confidences que tu partages avec nous avec intensité et pleines de ta sensibilité !



Douce soirée !
Mes amitiés
Prends bien soin de toi !
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Belle méditation des temps difficiles.

Bonjour Different, voilà une prise d'otage qui résume la nostalgie de l'instant.
Bravo.
Amitié.
Capricorne

belle poésie au message touchant, ne fermons pas les portes



yann

tout s'ouvre tout se referme comme tout arrive à terme
oui bien dit
b journée

un joli partage touchant

Bonjour Différent

Derrière une porte parfois l'inconnu, ne pas la fermer pour s'autoriser à rêver et se libérer.

Touchant partage

Amicalement Franie

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Merci pour cette charmante prise d'otage...mais où donc est passée la clef ?!…

Vive la Liberté ! j'aime te lire parce que tu es … ce que tu revendiques, comment dire….. diiifffféééérrrennt ! et surtout… change rien ! . Merci.lol


Amitié
Bises de Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran