C'est tout ce qui fait la puissance de la nature et sa complexité...
L'orage et sa violence, entre la foudre et ses centaines de milliers de volts et son tonnerre, ses pluies, grêles, contre la douceur et la fragilité de la fleur, tout est en opposition...
Et ton poème montre que malgré tout, cette fleur arrive à résister à toute cette noirceur du temps, cette dualité force/faiblesse qui se retrouve dans une situation paradoxale...
Comme le roseau qui ne plie mais ne rompt pas, la fleur garde ses racines suffisamment profondes dans le sol pour ne pas subir le châtiment de cette mère nature, par toujours tendre avec ce qu'elle engendre...
La pluie, souvent, lorsqu'elle est très violente, détruit aisément la flore, sans s'en soucier, du reste...
Amicalement...
Hubix.
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bonjour à toutes et tous, je viens découvrir ce nouveau site, pour moi, en espérant pouvoir partager la passion de la poésie avec chacun(e) d'entre vous... Merci d'avance...