Et si nous avions su que le jamais Ă©tait un tout est possible.
Et s’ils avaient su eux aussi que le jamais était un tout possible
Et si nous avions su qu’en cette phrase
Il faut que tout le monde sache quelle espèce de personne tu es.
Et si nous avions eu en ce bon temps cette connaissance
Et si en nos silences d’indifférence générale en faisant fi du consentement,
Ils n’auraient pas porté en leurs temps cette Etoile jaune,
Ils auraient fait entendre leurs VOIX, dans ce silence en cette Nuit de Cristal,
En faisant cette différence, ce n’est pas que des paroles en soit.
Ce sont des paroles assassinent, on en connait maintenant la valeur.
Ils n’auraient pas toléré l’intolérable, la source, la cause de soi au départ.
Au départ, ce ne sont que des paroles qui peuvent ne pas raisonner
En nos consciences, en en connait les tenants et surtout les aboutissements,
Ce ne fut que des paroles, ce ne fut que des Etoiles jaunes,
Juste que le monde devait savoir quelle espèce de personne tu es.
Que nous disent-ils, Prévert et Cosma
Oh ! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux oĂą nous Ă©tions amis.
En ce temps-lĂ la vie Ă©tait plus belle,
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
Les feuilles mortes se ramassent Ă la pelle.
Tu vois, je n'ai pas oublié...
Les feuilles mortes se ramassent Ă la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du nord les emporte
Dans la nuit froide de l'oubli.
En ces wagons plombés, la nuit m’emporte
En ce brouillard de l’indifférence
Ce n’était que des paroles, qu’une Etoile jaune,
Tu vois je n’ai pas oublié, Gilles Vigneault
Tu vois, je n'ai pas oublié
La chanson que tu me chantais.
Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Les soldats seront troubadours
Mais nous nous serons morts mon frère,
NOUS SERONS MORTS MON FRERE………………
Tu vois, je n'ai pas oublié
La chanson que tu me chantais.
OH JE VOUDRAIS TANT QUE TU TE SOUVIENNES
LE PLUS JAMAIS DOIT RESTER CET IMPOSSIBLE
MEME UNE PHRASE ELLE PEUT ETRE ASSASSINE.
NON, JE ME SOUVIENS JE NE VOUS AI PAS OUBLIE.......
Pour que je puisse te nommer en vos existences uniques pour toujours mon autre
SHALOM
FERLAND LE DIT
Un peu plus haut, un peu plus loin
Je veux aller un peu plus loin
Je veux voir comment c'est, lĂ -haut
Garde mon bras et tiens ma main
C'est beau! C'est beau!
Si tu voyais le monde au fond, lĂ -bas
C'est beau! C'est beau!
La mer plus petite que soi
Mais tu ne me vois pas
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