ils sont venus les bourreaux des aurores, des cerpes aux mains tant de fureur, ces tueurs des sains amours,quelle horreur, trainant dans leurs pieds les grands malheurs,
des cris ,des larmes qui dechirent, le silence de l'aube si fragile, le soleil de ce jour à beau luire, ils saccagent le bonheur de leur hideuse clameur,
au matin,ils se retirent les yeux pleins de colère, laissant les belles chaumières dans la misère, de feu et de sang eteignant toute lueur, emportant les restes de leur butinde guerre,
s'en vont-ils si loin que leur destin? laissant des traces sur tout les chemins, le jour pointera et larme passera dans d'autres mains, la vengeance ne sera alors qu'un petit jeu malin. facebook/ desert'kim vagabond 03/04/2019