Le culot morbide,
L'impertinence rapide,
Pour qui tu te prends bipède.

L’envie avide,
Les réflexions acides.
Quand ta superbe t’obsède
Et le non sens lui succède
Tes bêtises sont sans remède.

Dans tout ce qui précède
Le mal te possède.
Il n’arrive cependant à ce monde que des merdes
Quand c’est toi qui décide.
Ca, c’est raide !

La paix le bonheur t’excède.
Il y a des coups de pied au derrière qui se perdent.
A quel privilège tu concèdes ?
D'où toutes tes lubies procèdent.
D’où toutes tes lubies procèdent.

Bonjour Belhirch,

Beaucoup d'amertume en ta très belle poésie émouvante !

Tu as entièrement raison !
La lumière doit toujours rester dans le coeur de l'humanité !

Superbe!



Belle soirée cher ami poète!
Toutes mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Voilà qui est rondement mené et clairement dit !

Bonsoir Belhirch

L'humain n'est pas fait pour ce monde,
Il détruit tout ce qu'il approche et sans remord
Un poème fort qui m'a ému
Belle soirée amitiés

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il faut parfois insister pour que le bipède comprenne, il a le cerveau lent, excellent poème



yann

bonsoir amis poètes

sybilla
sphyria
dolores
yann

vos gentils commentaires abondent dans le sens de mon modeste partage. le sujet n'est pas celui de bouts de ficelle.
merci a vous de ne pas détester le contenu.


beau dimanche

belhirch