Comme un faucon niais Mamadou quitta sa Guinée, Grommelant partir ou mourir.
Que de chimères splendides Sa tête délicieusement rêvait. Superbe de rêvasserie, Dans sa pensée, Il aménagea un débarcadère D'où il embarqua Et un autre quelque part Sur un sol d'Espagne ou un rivage transalpin Où débarquer sain et sauf De l'autre côté de la méditerranée.
Quand le pays d'origine, mère-patrie n'offre pas de quoi vivre, on se trouve obligé de partir sans penser aux dangers !! Un problème actuel qui secoue l'Afrique de la misère, c'est triste !!! Amitiés Med