Vos doigts monsieur glissaient ... S'arrêtaient et recommençaient leurs jeux de virtuoses La musique enflait et grondait dans la pièce close Mon cœur s'envolait avec les notes tendres Avant que le feu de votre ardeur Soumettait le clavier de votre fureur ? Quel interprétation ? Quel splendeur ! Quelle joie ! Qu'elle explosion de bonheur Tout mon être exhalait de contentement Quand sur une note lente Une note finale Vous vous leviez en caressant votre blanc piano Sous les applaudissement , les bravos Je sentais mon cœur battre sous ma main Quand en rencontrant mes yeux Votre sourire m'offrait le plus beau des aveux Votre révérence sur la scène Cachait le trouble soudain Qui faisait que vous étiez le plus grand des musiciens Le préféré de mes baladins Une larme d'émotion sur ma main La musique de ce refrain m'avait touché au cœur Vous y mettiez une telle ardeur Chaque note me parlait d'amour Le titre et la tonalité me communiquaient Vos sentiments mieux que les paroles Vous si doué Anatole Votre musique m'enjôle Doux et passionné à tour de rôle S'élèvent des fleurs et des baisers Des caresses plus fort que le toucher Une musique pour musiciens avérés Une note ou deux Vous me troublez devant votre piano à queue Quand si doux glissent les notes Pétales ,quenottes ,sourires de nouveaux nés Tendresses et bouquets Je tremble monsieur Je frissonne Je meurs dans vos yeux Feu follet
Pour une fois j'ose te demander de corriger : il ne faut pas écrire "Vous y m'étiez une telle ardeur" mais "Vous y mettiez une telle ardeur", ou le verbe n'est pas le verbe "être" mais le verbe "mettre", à l'imparfait. Après correction, ça ferait un très sensuel, musical et beau poème. Amicalemment Keraban
---------------- J'aime la poésie qui me parle et qui chante