Je le sais, je sais bien que mes flots
vous arrosent et fleurissent
Je le vois, je vois bien que mes excès
vous allongent et grandissent
Je l’entends, j’entends bien que mes maux
de bonheur vous remplissent
Mais
Tout remue, et ces feuilles ne restent en place
Ce temps qui domine, se surpasse en jeu de passe
À la manière divine que chaque blâmable le fasse
Sentir ses fléaux le réduire sans pouvoir perdre face
Quand
Saisir cette vigueur astrale vous cerner
Loin d’ être ces foules à berner
Des pluies à votre tour à verser
Justice et appui aux tiges cassées
Longtemps hibernées
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Ecrire est la meilleure façon de respirer. :