ALI BABA
Ali Baba célebre rufian et ses amis voleurs
avant cacher son butin, proteger le magot;
plus besoin de cavernes, coqins devenus cajoleurs
évidement pleuvent les mécontents et ragots.
Refuge des apprentis, des confirmés, le Palais Bourbon
du baratin inépuisable, pondre des lois à tire-larigot;
faire le paon à la télé, perorer depuis leur ambon
prolifèrent les élus farfelus, soi disant des bousingos.
Mais le grand chef? Où se loge le grand Manitou
dans un palais réputé, une armée de serviteurs;
d'une main de fer il dirige sous ses airs de matou
suivant la lignée de ses predecesseurs, un profiteur.
Fric-frac, hold-up moderne, appellés impôts, taxes
avant la noblesse exemptés, sociétés, drogue protégés;
cela ne suffit pas, pour ton bonheur des surtaxes
la rapacité des banques, cartels néfastes ménagés.
Trop tirer sur la corde, torsion à l'extrème l'élastique
le feu sous la cocotte chauffe, peut-être l'explosion;
quand se tarie le filon argentifère, tout devient electrique
entre le "populo" et leurs élus grande fracture et dissension.
Leur avenir brillant, aussitôt chéri, des marionettes
une mane leur est proposé, difficile de refuser;
drogue, trusts pesticides, ainsi chera la bobinette
espoirs, toujours de purs nouveaux messies se dresser.
Quand le fruit mur est rongé de l'interieur il tombe;
corruption tentaculaire répandue, dur à remedier.
LE TROUBA D'OC
ochodedemer34@aolcomoctobre 18
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la vie est belle a la retraite que tu en ai 60 ou 70 ou plus si tu es en bonne santé! tamalou? mot a eviter;
les poemes un passe-temps sans aucune pretention dans la beauté de l'aurore avec le soleil qui me fait des levers pharaonique sur la mer...