Tu étais près de moi
Je ne te voyais pas
Sous les réverbères
Je marchais vaillamment
À côté de la nuit.

Ma vie se déroulait ainsi
Parsemé de petits cailloux
Jamais assez gros
Pour gêner mes pas.

La question toujours,
Me tenaillait sans fin
Ce pourquoi d’une vie
De si peu d’encombres.
Toi, tu étais là,
Je ne te voyais pas.

Mon regard chaque soir
Explorait les étoiles
À mon attirance
Je m’abandonnais
C’était doux et grand

Maintenant, dans la nuit
Je ne regarde que toi
Toi, Tu étais là
Je ne te voyais pas
C’est l’ironie du sort.

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sylvianni

Se croiser sans se voir, se voir sans se croiser. Tout est dit dans ses vers qui résonnent dans ma tête et qui m'interpellent.

Superbe

Loïk. P

Bonjour Sylvianni,

Très touchante et belle poésie !



Bonne journée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Merci Loik, ça me touche que mes vers te parle
Amitiés

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sylvianni

Un poème très émouvant.
Richards.

Bonjour sylvianni, très beau et touchant partage poétique

Amicalement

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

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Merci pour ce touchant partage

Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran