A PART CELA
Valras, sa première ligne, vue pharaonique
la mer jamais pareille, le temps, ses caprices;
l'été bruyant, surpeuplé, l'hiver calme platonique
pour, contre, comme toute ville, ambiance séductrice.
L'aube rougeoyante, Phébus dépasse Agde
potron-minet vite écoulé arrive la chaleur
l'habitude journalière, les taches nous embrigade
les heures vont vite défiler, le temps ton cambrioleur.
Sur notre lido, poussière le tracteur nettoie la plage
parfois avec les phares un ovni, tant il y a du sable;
Gigi et son sac, les papiers, aide précieuse, rafistolage
rendre le matelas à touristes propre, confortable.
Sur le boulevard la suceuse, son adjoint l'atomiseur
pourchasser les emballages, canettes, avaler la poussière;
suit le nettoyeur au "Karcher", le savon, la saleté occire
répétions inlassable, à la propreté son œuvre romancière.
Toujours même heure, les bruyantes poubelles
fidèles à l'heure, réglées comme du papier à musique;
indispensables, surchargées, terminent cette tabelle
tous les matins d'été, symphonie nettoyante, magique.
Pas besoin de réveille-matin, une aubade, une fanfare
se lever , admirer le panorama tranquille, fastueux;
il vient de s'endormir, travail terminé, notre phare
ces "nuisances" matinales un mal nécessaire, impérieux.
Valras ,ainsi débute une journée, les pieds au paradis
la mer te récite son poème, son ode, a part cela….
LE TROUBA D' OC
ochodedemer34@aol.comseptembre 18
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la vie est belle a la retraite que tu en ai 60 ou 70 ou plus si tu es en bonne santé! tamalou? mot a eviter;
les poemes un passe-temps sans aucune pretention dans la beauté de l'aurore avec le soleil qui me fait des levers pharaonique sur la mer...