Les cons sonnent
A la porte des voyelles
Pour faire l'amour des maux

Au pays de la faim
Conjuguer manger
Devient impossile

Ce jardin dit vert que tu vois
Avec ses peaux de fleurs fanées
Ce rat vivant de couleurs au printemps

Depuis qu'il a perdu ses pas ronds
A l'age des trois pommes à maman
On le surnomme l'or feux lin

Mon nom fonce
Comme mes songes
Au fond de mes faux lits voilées

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jolie lecture jalonnée d'espiègles "embûches" que j'adore

bon dimanche



yann

Un poème intéressant, bravo.

Une très manière de jongler avec les mots

Loïk. P

bravo Mesfauxlits pour ce superbe écrit, j'adore
bonne journée
Denise

Merci pour cette belle "faux" lit !

Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

Bonjour Mesfauxlits,

Très beau !



Bonne journée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)