Ô tourments ! Ô chagrins !

Ô tourments ! Ô chagrins ! Pourquoi un tel courroux
Un grand aigle chaque soir me mange le cœur
Et subissant au jour, les crocs d'un loup-garou
La colère noire des Dieux, leur rancœur.

Que la mort arrête cet atroce supplice
Je ressens en moi, les affres du désespoir
Je vois venir le mal et ses tristes complices
Un rictus létal sur leurs sinistres mâchoires.

Donnez-moi le moyen de pouvoir les combattre
Une épée me suffit pour pouvoir harasser
Les créatures infernales, pour les battre
Le fer froid de la lame va les terrasser.

Et leur sang coulera sur les remparts de haine
Les démons resteront au centre d'un cratère
Prenez garde suppôts, je briserai les chaînes
Des hommes, épreuve au devenir salutaire !

Entendez-vous les cris des damnés de la Terre
De leurs funèbres sépulcres sortent les plaintes
Et les âmes des morts sont les dépositaires
De nos propres malheurs, écoutez leurs complaintes.

bsr

joli poème merci pour le partage


DanielM

Bonsoir ELTEOR,

Très belle poésie en partage !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Merci pour vos commentaires

et c'est loin d'être fini...
Quand l'individu acceptera de considérer le monde et arrêtera de penser qu'il en est le nombril, alors chacun trouvera une place qui n'est pas la même pour tous. Tous ceux qui ont visé ce nombril ont fini par se perdre et se sont agglutinés auprès d'un autre orifice... C'est pour cela qu'aujourd'hui, c'est la merd...

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c'est toujours quand il est parti qu'on se rend compte que le bonheur était là!