Une pâle cendre couchée au niveau du plancher
Ce rayon de lune qui éclaire le mat/elÃ
Plancher :mettre ses rêves au travail
Le matelas une embarcation
Chaussures au bord comme accompagner le long de la rive
Au lever, baignée par la lumière du soleil qui se lève
Entendre la lu/eur qui entre comme une prière par la fenêtre
C'est l'orient , soleil qui suit son texte de ses rayons
La nuit jalouse ,pâle de chagrin , a laissé ses perles de rosées
Matelas du matin comme un canot de sauvetage
Récupérée de la nuit
Saouliers au lever après une nuit d'ivresse
Le vent du matin portait son odeur prin/tanière
Emprunt d'une fleur pour éclore ses yeux
Son corps féminin dévêtu ,couché à côté de lui ,éclairée par le soleil
Apparue plus matériel que le soir précédent,à la lueur de la lampe
Qui avait détaché ce qu'il y avait d'étranger dans le corps de la jeune
Femme et sa plaine entre deux horizons ,les vallées et la forêt .
Pour se relever ,Ã plat ventre sur le plancher ,il fait une brasse
Après avoir l'avoir embrassée.
La lumière en plein visage avait donné de la lumière à ses
Pupilles noires ,une ligne avait limité une tâche lumineuse
Un de/voir
Un trait de visage qui devrait être inoubliable parce que surligné
Il allait l'oubliée et devoir la reconquérir pour se souvenir
Parce qu'il avait pris au mot tirer un trait et vaquer à son activité
Un mot dérobe l'idée qu'il exprime ,il faut alors l'enrober D'imagination ,à ses moments perdus alors
En Fin de journée alllongé sur un banc
A/banc /donné ,une ombre pro/jetée
Comme elle le soir dans la chambre de fortune
Une chambre sans lit ,sans couverture ,mais des pages tournantes
Comme un tourniquet .
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