C’est au delà des mots que j’ai cru
C’est avec art que c’est tisse ma toile
Mais dans ses yeux j’ai vu comme un voile

Ce pinceau si agile avec mes couleurs
Pour fuir Presque comme un voleur
Cet image que j’ai regardée
Que j’ai fardée
De teintes et de saveurs
Tous ces jours pour la prendre
Pour la tenir et attendre
Que naisse son visage
C’est son image
Droite et sûre comme un sage

J’ai goûté son doux breuvage
Mon art s’en est allé
Je ne sais où
Peut être sans talent
Sans artifices
Sans préjudices

J’ai tenu ce pinceau des jours durant
Comme si j’avais le temps
Comme si je sortais du rang

Inspirée sans doute
Je suis restée sur ma route
J’ai posé ma palette
Faut que j’arrete








sa carapace de métal
Cette fois ce fut presque fatal

Bonsoir Anne,

Très émouvant et beau !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Bonjour Anne, voilà une image qui ne s'estompe qu'avec regret.
Ne lâche pas tes pinceaux.
Bisous.

Capricorne

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domi.gondrand@laposte.net

avec le temps vient parfois le découragement, vos vers me touchent

bon dimanche


yann

il faut maintenir vivace son image dans le souvenir
dans le peindre
dans l'écrire
merci anne et

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

belle

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lagrib

"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"