Il y a des plaintes
Dans un labyrinthe
Est-ce les craintes
D'étouffer par l'étreinte
De tous les repères
Qui enserrent
Les âmes esseulées
Tournant sans arrêt
Pour trouver la sortie
D'un but indéfini
Il y eut des promeneurs
Qui demandèrent aux fleurs
Où était le jardinier
Qui venait chaque soir
Pour les arroser
Avant qu'il ne fasse noir
Bien vite le raisonnement
Au gré du crépuscule
Imposa aux revenants
Une peur incrédule
Et le calme revint
Dans ce si beau jardin
Où toutes les allées
Semblaient se ressembler
----------------
Geneviève