Du firmament d’un coeur printanier
Tu éclaires les solitaires fleurs
Dans cette vallée aux rosiers
Imbibées de rosées de mes pleurs
De mon asile je t’offre mon chant
Noyant les cris de mes douleurs
Avec tes lueurs dans mon sang
Se diluent les tâches des noirceurs
Les pierres dans mon cœur troublé
Reflètent les échos de mélodies
Traversent les chemins éclairés
Dans le ciel aux rêves fleuris
Soleil dans mes yeux incrusté
Phare sur le cap de mes songes
Guide tu diriges mes pensées
Dans l’absence nos regards se mélangent
Ô muse altesse des cieux printaniers
La clarté dans mon univers tu la prolonges
Avec mes mots messagers
Je te couvre de milles louanges
rivedusoleil
24/3/2018
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Ah ! si seulement avec une goutte de poésie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde !
Résidence sur la Terre (1935) Pablo Neruda
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