Sous le coup de minuit
Les plaisirs oniriques s’éveillent
Dans l’obscurité sans lieu pareil
Et appellent au vagabondage fortuit

Une parole anonyme prophétise
Et goutte à goutte replie l’ombre
Le souffle pénètre la matière grise
Le cinéma remplit la pénombre

Sans complexes, des images exubérantes
Ondoient dans les têtes endormies
Le cœur épouse la mémoire amie
Et des souvenirs s’éveillent et se décantent

Caché à l’ombre d’un songe
J’observe c’est étrange monde
Est-ce vérité ou mensonge
Où tant de scories abondent

Au pays des rêves, c’est la spirale
Tout s’entrechoque et semble normal
Ici, un monstre transporte un cauchemar
Là, un tapis volant traverse un tintamarre

Intemporel, éphémère et éternel,
Personnel et universel
Tel est l’univers onirique
Que chaque nuit j’astique

Bonjour...

Onirique ou cauchemardesque, beaucoup d'entre nous astiquent un univers nocturne bien à eux...

Plaisant à lire ton poème

Cordialement

Bonsoir Plumedoie,

Très belle poésie en partage !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

----------------
Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)