Tous les champs les collines les étangs, les ruisseaux tous les monts, les ravines et tous ces chants d'oiseaux
Nos voix qui se confondent au fond de nos abysses tous les espoirs du monde au bord d'un précipice
Nos jeunesses égarées dans des ruelles sombres où le temps s'est figé n'abritant que nos ombres
Et tous ce temps perdu à chercher l'âme sœur nos amours suspendus aux fenêtres du cœur
Tous les champs, les collines les étangs, les ruisseaux tous les monts, les ravines et tous ces chants d'oiseaux
Rien ne saurait manquer à ce monde fugace chaque instant me rappelle à quel point le temps passe
Pourtant dans ma mémoire tout est resté intacte rien n'altère l'amour cœurs scellés par un pacte
ta voix grave et paisible « ma compagne » toujours
Mon cœur est un oiseau aux ailes invisibles qui plane dans les cieux et vole vers tes cimes puis, va se perdre heureux ! au fond de ton abîme !.... ( la demande du poète Sympatique)
---------------- Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu. Le DalaÏ Lama
Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran
Bonjour Luzdelsol voilà un abîme qui permet de monter au septième ciel. Une très agréable poésie que tu nous offre là. Merci pour ce superbe partage. Mes bisous.