Pampan, petit lapin, attendait son ami
Pour remettre avec lui la nature en domaine
Au cœur de la forêt, ils n'avaient de souci
Que de compter les jours, en faire des semaines...
On peut toujours rêver de ce que l'on n'a pas
De ce que l'on voudrait, au delà du réel
On peut toujours penser d'y aller d'un bon pas
Surtout si on admet croire auPère Noël.
Joli poème, Thomas
Guy
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