Dure... très dure est la perte d'un père
Et même s'il meurt à 100 ans, c'est toujours trop tôt pour ses enfants.
On vivra toujours avec ce sentiment qu'une partie de nous s'est détachée. Un sentiment de vide, de néant qui s'installe.
On attendra vainement son retour.
On entendra très longtemps ses pas qui résonnent, sa voix qui nous interpelle...
On finira par accepter, avec amertume, ce départ.
Et on vivra avec les beaux souvenirs qu'il nous a laissé.
Courage et mes plus sincères condoléances.
Esperances.
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Avons-nous les mots pour regarder le monde dans toute sa beauté, ses détails et sa fragilité ?
- Chateaubriand