Quand le soleil atteint la rive Où tu vis; Quand sa lumière part furtive Chaque nuit; Lorsque le grand jour de la nuit T'est soumis, Tu restes, las!, sous cette pluie De rubis. Mais, là , derrière toi, surgit... ... Un ami.
Et alors, je suis malheureux Car tu vis; Puisque, lui, devient ton seul Dieu Mais aussi La lumière qui te sourit. Et tu ris! Tu ris car tu as d'une vie Le bonheur; Mais, moi, d'une effroyable vie, Moi, je meurs.