Un poème bouleversant qui assène les mots et maux avec une criante vérité...
Merci de faire entendre ces voix de la rue souvent peu audibles face à l'indifférence.
J'aime l'ironie amère du quatrain final montrant combien la compassion
peut se manifester plus aisément pour l'animal que pour l'humain.
Un beau partage, merci et
Amicalement,
Rosaly