Entre Florac et Sainte Cécile d’Andorge,
J’ai conduit, baigné de cette lumière, un train !
Imaginaire à souhait, tellement lointain,
Au bord de son chemin, le châtaignier regorge !

J’ai vu l’ombre, puis le soleil baignant la gorge,
De la craquante ânière, sortant du bain!
Son âne si placide, son très grand copain,
Attendait qu’elle veuille lui donner son orge.

Ainsi va la vie, dans ce rude paysage,
La burle y soufflant, ride de tous le visage,
Son triangle aime bien avaler l'avion.

C'est l’heure de l’adieu avec ma cévenole,
D’oublier son doux baiser au goût de marron,
Cévennes je vous hais, mon bel amour s’envole !

comme une petite nostalgie du lieu des voeux oui

Bonjour Sandre,

Un magnifique sonnet racontant le souvenir d'un amour cévenol avec une belle ânière, on s'y voit dans ce charmant décor.

Amitié,
Roman

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Bonjour Hubert,

Magnifique poésie sur cet amour ressenti pour cette femme en cette région cévenole qui t'est resté en mémoire !



Douce journée cher ami poète Hubert !
Toutes mes amitiés
Prends bien soin de toi!
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Bonsoir Sandre

Attachement particulier à cette région laquelle vous a offert un bel amour à présent disparu. Poème en tendre mélancolie.

Amicalement Franie

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Bonsoir Sandre

Très beau et touchant poème.

Oui
Le manque peut créer l'insatisfaction
De quitter l'autre...

Et puis si un jour
Le manque n'est plus
On se retrouve déçu

Et c'est
Une recherche
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De ces moments perdus