Reste la tempĂŞte dans les fissures
Dans la grotte tourbillonnant
Ă” que le vent aime bien les brisures
Se gave des débris de sentiments
Quand s’étalent sur le cœur les trames glaciales
Par le froid de l’absence tissées
L’amour tremble s’isole dans la cale
Sous les écailles des parois érodées
Dehors se joue un bal
Le temps s’écoule en continu
L’illusion cache toujours le mal
Le corps danse sur la glace nu
Au loin l’horizon s’ouvre s’éclaircit
Le rĂŞve ouvre la porte grandiose
Là l’espoir toujours étale son lit
Derrière la réalité au temps morose
rivedusoleil
21/9/2017
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Ah ! si seulement avec une goutte de poésie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde !
RĂ©sidence sur la Terre (1935) Pablo Neruda
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