Imagine. . Alors
Cet arc essentiel, la couleur verte espoir illumine
Cette passion ivre, pleines voiles, cette mer fluide
À l’horizon, sans fin, sans état d’âme ainsi vogue,
Effleure de perles ses vagues, viennent ses songes.
Ses doux baisers humectent tes douces lèvres,
Son regard dans tes yeux se pose, elle divague,
De ses bras, elle espère te serrer mais ne l’ose,
Dévore la nuit ébène et en déferle sa tendresse.
Ton corps, elle l’assaille d’intenses caresses,
S’élève à la force du souffle de sa bouche,
Son amour au paroxysme avide, le consume
Telle la belle goulue n’en plaise à Toulouse.
Ce cachet de cire pour sa peine en effervescence,
Selle à jamais a l’encre bleu pour la nuit des temps,
Allant Du Saint Graal a sa croix vraiment lourde,
Il est son filament fragile à jamais incandescent.
Une mélodie, une ballade plus que sentimentale,
Éducation sensuelle glanant enfin dans les prés,
Esseuler, tûter les grillons des champs a la paille,
En automne, cueillir les colchiques à la fin de l’été.
Ses rimes justes ces quelques vers, pour vous dire,
Que dans la vie espérer est aussi synonyme de perdre,
Malgré et remplis de tant de volonté, de son innocence
Il en est ainsi le temps ne peut s’arrêter, elle Imagine, alors....
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