Et nous cacherons le plus terrible
Ce qui fait hésiter le pas en avant
Mais aussi ce qui fait bondir le pied devant
Ce quelque chose que l’on croit en nous
Et qui se loge à l’extérieur de nous
Dans le soi-disant tréfonds de ce que nous sommes

Ce que l’on pense être la limite de toute frontière
Qui nous distinguerait et du divin et de l’animalité
Qui nous couperait de toute chose

On effacera pour toujours le mot
De sorte que ne reste en rien une trace
Pas même un signe une lueur
Plus rien de subsistera de cette chose
La mort à la mort

Bonsoir Richards,

Très émouvant !



Belle soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)