Dans mon cœur ;
Il y a tellement de noirceur …
Les mots m'ont blessé ;
Mon cœur déjà noyé ;
Il meurt dans l’acide ;
Je me sens si vide ;
J’y ai encore cru comme une imbécile ;
De toute façon je suis débile ;
Ce monde est affreux ;
Les gens sont honteux …
Qu’est-ce que la vie ?
C’est sourire même quand on n’en a pas l’envie ?
Je souris, mais j’aimerais que l’on voit ;
Que l’on voit à l’intérieur de moi ;
Tout pourri ;
Tout noirci ;
Prend la forme d’une tête de mort ;
Ainsi que ces mots qui tapent fort ;
Mon cœur va exploser à force de tout garder ;
Car je n’ai plus l’envie d’exister ;
Je pense que la mort, c’est la liberté ;
On m’a demandé pourquoi je ne pleurais pas les morts ;
Car, je sais que, maintenant ils ont plus besoin d’être fort …
Je désirs tellement oublier ces souvenirs ;
Qui m’empêche de tenir ;
Je l’aimais et je l’aimerai ;
Je ne pense pas que je l’oublierais ;
Je sais que ça fait plus d’un an que je ne suis plus avec lui ;
Mais je peux pas m’empêcher de rêver de lui la nuit ;
Je ne comprends pas pourquoi je n’arrivais pas à l’oublier ;
Le premier poème d’amour que j’ai créé était pour lui...
Et il le reste pour lui ;
J’ai aimé un autre homme après lui ;
Un homme qui avec lui j’aurais dû être conquis ;
Il était câlin et gentil ;
Mais malgré ça j’ai tout bousillé à cause de ces souvenirs ;
De cette odeur qui n’est pas la sienne,
Qu’importe le temps qui passe ;
Qu’importe les hommes qui me chassent ;
Dans ma tête il n'y en a que pour lui ;
Que pour lui que je vis ;
On m’a demandé pourquoi je lui parlais encore ;
Car si je ne lui parlais plus ;
Je ne tiendrais plus ;
A chaque fois je me taille les bras ;
Je pense à lui et moi ...
Qu’importe où je vais ;
Il est dans mes pensées ;
C’est à lui que j’ai donné corps et âme ;
Mais lui s’amuser avec les sentiments de ma flamme ;
Il la faisait grandir et se réchauffer ;
Pour mieux l’éteindre ;
Lui qui m’a dit qu'il m’avait mentit ;
Ses « je t’aime » n’étaient que des mensonges ;
Les sentiments que je portais pour lui n’étaient pas réciproque ;
Depuis je n’arrive plus, je suffoque ;
Plus d’un an est passé ;
Mais je ne peux l’oublier ;
Vais-je y arriver ?
Ou dois-je abandonner ?
Car depuis que je l’ai perdue ;
Je suis comme un pendu ;
Je vis sans vivre ;
de ma plume morte ;
j'écris ces mots qui sortent ;
de mon cœur ...